RDC : Esdras Kabamba éclaire l’opinion sur son avenir (entretien)

Le portier de l’équipe nationale de la République démocratique du Congo, Esdras Kabamba sociétaire de Bravos Do Maquis en Girabola, première division angolaise , a évoqué plusieurs sujets sur sa carrière en club comme en équipe nationale tout en éclairant également sur la rumeur qui l’amènerait au sein de l’As.v.club de Kinshasa.

Au cours d’un entretien exclusif accordé à equilibre. Cd, le portier congolais est revenu sur sa convocation ainsi que son adaptation à l’équipe nationale.

«  Tout joueur rêve de représenter son pays. Pour ma première convocation surtout avec mon âge ,j’ai été honoré de voir mon nom être sélectionné pour venir à l’équipe nationale A , c’était un rêve , je suis content de l’avoir réalisé.
Mon adaptation a été très bonne , surtout avec Fiston Kalala Mayele , et les autres coéquipiers avec qui on jouait ici quand j’étais à Rangers. On ne jouait pas dans un même club mais on s’affrontait parce qu’on jouait dans un même championnat et ils m’ont permis de bien intégrer l’équipe nationale sans oublier notre capitaine, le Demi-dieu , Chancel Mbemba », a déclaré l’ancien gardien de Rangers.

Sur la question de sa titularisation, Esdras Kabamba dit patienter et attendre son temps.

« Le fait de ne pas être titulaire me dérange pas. Tout le monde a son temps, Lionnel Mpasi n’était pas directement venu comme titulaire , il a essuyé le banc puisque Kiassumbwa était titulaire . Bertaud également a dû attendre son temps . Cela veut dire qu’être titulaire ou pas cela me dérange ou démotive en rien . Je continue de travailler et j’attendrai mon tour » a-t-il ajouté.

Sur la question d’un probable transfert à l’AS V.club , Esdras dit n’avoir eu aucun contact avec les dirigeants de V.Club mais n’exclut pas cette option.

« Pour être honnête , je n’ai pas personnellement parlé avec v.club et mon manger ne me l’a non plus parlé. Je suis ouvert , si v.club a besoin de moi , qu’il vienne discuter avec mon manger , ensemble nous verrons comment les choses vont se passer ».

Arbotte NZAKI

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