RDC : l’IGF relève une magouille au sein de l’établissement public “FONER”

L’inspecteur général des finances , Jules Alingeta a révélé à travers une correspondance une magouille au sein de l’établissement public,FONER.

A en croire l’inspecteur Général des finances, le Directeur Général de FONER aurait un
Protocole d’accord scandaleux de 500 millions de dollars américain avec la banque BGFIbankRDC sans autorisation et justification pour les constructions des routes .

« 𝘋𝘦𝘷𝘢𝘯𝘵 𝘭’𝘪𝘮𝘱𝘰𝘳𝘵𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘦 𝘤𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘵𝘢𝘨𝘦 𝘧𝘪𝘯𝘢𝘯𝘤𝘪𝘦𝘳 𝘺 𝘳𝘦𝘭𝘢𝘵𝘪𝘧, 𝘦𝘶 é𝘨𝘢𝘳𝘥 à 𝘭𝘢 𝘯𝘢𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘫𝘶𝘳𝘪𝘥𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘍𝘰𝘯𝘦𝘳 𝘲𝘶𝘪 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘶𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘵𝘦 𝘥’𝘢𝘧𝘧𝘦𝘤𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴𝘱é𝘤𝘪𝘢𝘭𝘦 𝘥𝘶 𝘉𝘶𝘥𝘨𝘦𝘵 𝘥𝘶 𝘱𝘰𝘶𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘤𝘦𝘯𝘵𝘳𝘢𝘭 𝘦𝘵 à 𝘭’𝘰𝘣𝘫𝘦𝘵 𝘥𝘶 𝘍𝘰𝘯𝘦𝘳 𝘥𝘰𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘮𝘱 𝘥’𝘪𝘯𝘵𝘦𝘳𝘷𝘦𝘯𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘹𝘤𝘭𝘶𝘵 𝘭𝘦𝘴 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘶𝘹 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘳é𝘩𝘢𝘣𝘪𝘭𝘪𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴, 𝘭’𝘐𝘯𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘎é𝘯é𝘳𝘢𝘭𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘍𝘪𝘯𝘢𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘵𝘪𝘦𝘯𝘵 à 𝘦𝘹𝘢𝘮𝘪𝘯𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘥𝘦 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘰𝘱é𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘴’𝘢𝘴𝘴𝘶𝘳𝘦𝘳 𝘥𝘦 𝘴𝘢 𝘭é𝘨𝘢𝘭𝘪𝘵é, 𝘴𝘢 𝘳é𝘨𝘶𝘭𝘢𝘳𝘪𝘵é, 𝘴𝘰𝘯 𝘰𝘱𝘱𝘰𝘳𝘵𝘶𝘯𝘪𝘵é 𝘦𝘵 𝘴𝘰𝘯 𝘪𝘮𝘱𝘢𝘤𝘵 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦𝘴 𝘥𝘶 𝘍𝘰𝘯𝘦𝘳 𝘱𝘳𝘦é𝘢𝘧𝘧𝘦𝘤𝘵é𝘦𝘴 𝘢𝘶 𝘧𝘪𝘯𝘢𝘯𝘤𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘭’𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦𝘵𝘪𝘦𝘯 𝘳𝘰𝘶𝘵𝘪𝘦𝘳. ». Peut-on lire dans le communiqué .

Dans la suite de cette même correspondance adressée au DG du Foner, il lui a été demandé ce qui suit :
« 𝘛𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘢𝘧𝘧𝘢𝘪𝘳e 𝘤𝘢𝘴𝘴𝘢𝘯𝘵e 𝘭𝘦𝘥𝘪𝘵 𝘱𝘳𝘰𝘵𝘰𝘤𝘰𝘭𝘦 𝘥’𝘢𝘤𝘤𝘰𝘳𝘥 𝘦𝘵 𝘱𝘳𝘰𝘤𝘦𝘴-𝘷𝘦𝘳𝘣𝘢𝘭 𝘥𝘶 𝘊𝘰𝘯𝘴𝘦𝘪𝘭 𝘥’𝘈𝘥𝘮𝘪𝘯𝘪𝘴𝘵𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘍𝘰𝘯𝘦𝘳 𝘢𝘺𝘢𝘯𝘵 𝘪𝘥𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪é 𝘦𝘵 𝘢𝘱𝘱𝘳𝘰𝘶𝘷é 𝘭𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵 𝘥’𝘪𝘯𝘧𝘳𝘢𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘶𝘳𝘦𝘴 𝘷𝘪𝘴é 𝘱𝘢𝘳 𝘤𝘦 𝘧𝘪𝘯𝘢𝘯𝘤𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭’𝘢𝘱𝘱𝘳𝘰𝘣𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘵𝘶𝘵𝘦𝘭𝘭𝘦, 𝘭𝘢 𝘭𝘪𝘴𝘵𝘦 𝘥𝘦𝘴𝘥𝘪𝘵𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵𝘴 𝘢𝘱𝘱𝘳𝘰𝘶𝘷é𝘴, 𝘭’𝘢𝘶𝘵𝘰𝘳𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘳é𝘢𝘭𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘵𝘶𝘵𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘦𝘵 𝘦𝘮𝘱𝘳𝘶𝘯𝘵, 𝘭𝘦𝘴 𝘨𝘢𝘳𝘢𝘯𝘵𝘪𝘦𝘴 𝘧𝘰𝘶𝘳𝘯𝘪𝘦𝘴 à 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘣𝘢𝘯𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘳ê𝘵𝘦𝘶𝘴𝘦, 𝘭𝘦 𝘣𝘶𝘥𝘨𝘦𝘵 2019 𝘥𝘶 𝘍𝘰𝘯𝘦𝘳 𝘱𝘳é𝘷𝘰𝘺𝘢𝘯𝘵 𝘤𝘦𝘵 𝘦𝘮𝘱𝘳𝘶𝘯𝘵, 𝘭𝘦𝘴 𝘵𝘦𝘹𝘵𝘦𝘴 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘢𝘶𝘵𝘰𝘳𝘪𝘴𝘢𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘦𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦𝘳 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦 𝘥𝘦 𝘭’é𝘵𝘢𝘵 𝘱𝘳é𝘦𝘢𝘧𝘧𝘦𝘤𝘵é𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘦𝘵 𝘢𝘶-𝘥𝘦𝘭à 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘢𝘱𝘢𝘤𝘪𝘵é 𝘥𝘦 𝘮𝘰𝘣𝘪𝘭𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘢𝘯𝘯𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦, 𝘭𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘺𝘦𝘯𝘴 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘮𝘣𝘰𝘶𝘳𝘴𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 dont 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘪𝘴𝘱𝘰𝘴𝘦𝘻 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘴𝘰𝘶𝘣𝘢𝘴𝘴𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘶 𝘭𝘪𝘦𝘯 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘢 𝘣𝘢𝘯𝘲𝘶𝘦 𝘜𝘉𝘈 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘤𝘢𝘥𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘤𝘦 𝘥𝘰𝘴𝘴𝘪𝘦𝘳. » , renseigne le
Communiqué .

Cette énième dénonciation de magouilles révèle le bon travail abattu par l’inspection Générale des Finances que dirge , Jules Alingete Key qui continue son combat afin d’arrêter l’hémorragie financière dans les institutions publiques.

La Rédaction