A l’occasion de la Journée Internationale de la Jeunesse, célébrée chaque 12 août, la Fondation Bora Tchelu a tenu dans la salle Capitol, de l’hôtel Rotana une Vitrine des Talents et des Potentiels des Jeunes , autour du Thème : « ET SI LES TALENTS ET LES POTENTIELS ETAIENT NOTRE SEULE RICHESSE ? ». On a noté la présence de plusieurs invités de marque notamment l’honorable Makondjo Lambert, président de l’Assemblée provinciale du sankuru.
Cet élu a présenté la compétence comme étant un élément de différence permettant aux jeunes de se distinguer dans le marché de l’emploi.
« La compétence est un élément de différence pour les jeunes sur le marché d’emploi. Il faudrait que les jeunes puissent le savoir, plusieurs personnes peuvent postuler pour un seul poste disponible mais c’est la compétence qui va différencier les uns et les autres », a déclaré l’honorable Makondjo Lambert président de l’Assemblée provinciale du sankuru.
« Selon l’Unicef, 825 millions de jeunes qui vont souffrir d’un problème de compétence et moi je dis toujours que nous sommes les instruments du développement de notre pays. Lorsque nous aurons compris que nous devons avoir nos potentiels personnels, c’est alors que nous pourrons développer nos communautés », a-t-il ajouté.
Pour l’honorable Lambert Makondjo, les jeunes doivent savoir que dans ce marché de travail inondé des curriculum vitæ (CV), ce qui leur différencie des autres, c’est la compétence. C’est ainsi qu’il faut se verser dans l’auto formation pour pouvoir se lancer dans le challenge.
« Vous devrez saisir les opportunités qui vous seront présentées car, l’auto formation a un rôle primordial dans la construction de nos compétences », a-t-il dit.
Lambert Makonji, également entrepreneur, a révélé que les compétences de base sont techniques, professionnelles et numériques. De nos jours, un jeune sans compétences numériques est considéré comme un analphabète.
Au-delà des diplômes, connaitre le domaine numérique c’est-à-dire l’informatique, est d’une grandissime importance.
Candide kipulu